120. Reaffirms its condemnation of abuse and of all forms of violence against women including domestic violence; calls, therefore, on all member states of the Council of Europe to sign and ratify the Convention on preventing and combating violence against women and on the EU to engage in the process of accession to the Convention in order to ensure consistency between EU in
ternal and external action on violence against women; stresses the importance of conducting information and awareness campaigns in communities where female genital mutilation (FGM), sexual abuse of young girls, early and forced marriages, feminicides and other gender
...[+++]-based human rights violations are practised, and of involving human rights defenders already fighting for an end to these practices in the preparation and implementation of these campaigns ; encourages the EEAS and the Member States to continue to address the issue of FGM in their political and policy dialogue with partner countries where FGM is still practised; 120. réaffirme sa condamnation de la maltraitance et de t
outes les formes de violence envers les femmes, notamment la violence domestique; invite par conséquent tous les États membres du Conseil de l'Europe à signer et à ratifier la Convention sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique, et demande à l'Union de lancer un processus d'adhésion à ladite convention afin d'assurer l
a cohérence entre l'action intérieure et extérieure de l'Union européenne en matière de violence à l'égard
...[+++]des femmes; souligne l'importance des campagnes d'information et de sensibilisation menées auprès des communautés ayant des pratiques de mutilation génitale féminine, d'abus sexuels sur les jeunes filles, de mariages précoces et forcés, de féminicides et d'autres violations des droits de l'homme fondées sur le genre, et de la participation des défenseurs des droits de l'homme, qui œuvrent déjà à l'élimination de ces pratiques, à l'élaboration et à la mise en œuvre de ces campagnes; encourage le SEAE et les États membres de l'Union à continuer d'aborder la question des pratiques de mutilation génitale féminine dans leur dialogue politique et stratégique avec les pays partenaires où ces pratiques sont encore d'actualité;