The position of the African Union from July 2009, and also of the Arab League, which are refusing to cooperate with the International Criminal Court in this matter, provides clear evidence that many representatives of these countries simply do not see in the actions of Sudanese President Omar al-Bashir the kind of deeds that should be judged before the International Criminal Court.
La position de l’Union africaine à partir de juillet 2009, et celle de la Ligue arabe également, qui refusent de coopérer avec la Cour pénale internationale dans cette affaire, prouvent clairement que de nombreux représentants de ces pays ne voient tout simplement pas, dans les actes du président soudanais Omar El-Béchir, le type de faits qui doivent être jugés par la Cour pénale internationale.