It also underlies the widespread sexual violence against both women and girls about 85% of which is purportedly carried out by family members or against young boys, an important but under-reported practice perpetrated as much by pro-government militias, nominally the West's allies, as by insurgents.
Elle explique également l'ampleur de la violence sexuelle, autant contre les femmes que les filles — environ 85 p. 100 des actes seraient perpétrés par des membres de la famille — ou contre de jeunes garçons, une pratique courante passée sous silence, commise autant par des milices favorables à la position du gouvernement, nommément les alliés de l'Ouest, que par des insurgés.