The reality, contrary to a well-established tradition, is that the maintenance of the aircraft would be done by the Americans, the aircraft would spend most of their time on American soil, we do not have any hangars for them, and the Americans would have a veto on where they could fly.
Dans les faits, contrairement à une tradition bien établie, l'entretien de ces avions serait assuré par les Américains, les avions passeraient le plus clair de leur temps en sol américain car nous n'avons pas de hangars pour eux, et les Américains auraient un droit de veto sur les endroits où ces avions pourraient être déployés.