It's very heart-wrenching to see an ordinary seaman—and it's not all ordinary seamen, it's junior ranks as a whole—have to receive any kind of benefit, not to be able to live on their own with the funds they should be making, going to work daily, on a day-to-day basis, for their country.
Il est très difficile de voir un matelot de 3ème classe—et ce ne sont pas tous les matelots de 3ème classe, mais les caporaux et soldats dans leur ensemble—recevoir des prestations, ne pas être en mesure de subvenir à ses besoins avec l'argent qu'il devrait gagner, lui qui est tous les jours au service de son pays.