Most of them have enjoyed a relatively low level of public debt – the average is still about 40% – but Commission analyses indicate that, in a no-change scenario, by 2015 it could have reached almost 52%, or even be as high as 57% if the conditions for growth prove less favourable still.
Dans leur majorité, les nouveaux membres bénéficient d'un niveau de la dette publique assez bas, la moyenne reste autour de 40 %, mais les analyses de la Commission montrent que sous un scénario "pas d'ajustements", celle-ci pourrait atteindre en 2015 presque 52 % ou même 57 % dans l'hypothèse d'une croissance encore moins favorable.