The thing that annoys me, frankly, is that everyone says yes to enlargement, but when it comes to paying the necessary price of solidarity, in other words the price of implementing reforms to the way in which the European Union functions, then we are much more pedestrian than in our historic, Sunday-best speeches.
Ce qui m'énerve, franchement, c'est que tout le monde dit oui à l'élargissement mais quand il s'agit de payer le prix nécessaire de la solidarité, c'est-à-dire le prix de la mise en œuvre des réformes à apporter au fonctionnement de l'Union européenne, alors là, nous sommes bien plus terre à terre que dans nos discours historiques du dimanche.