The reason is, as an example very close to the Arar case, if we were to call and ask about individuals who had aroused our suspicions, there could be circumstances that we, as the OPP, or we as the provincial anti-terrorism section, were not aware of.
Dans un cas très similaire à l'affaire Arar, un agent de la Police provinciale de l'Ontario ou de la Section provinciale de la lutte contre le terrorisme peut, sans être au courant de certaines circonstances, appeler pour obtenir des renseignements sur des individus qui ont éveillé des soupçons.