Since the coup d’état in 1954, which removed from office a government that had intended to free the country from poverty and backwardness, hardly anything has gone right for Guatemala, and it has been under the constant rule of governments lacking even the least concern for the weakest groups in society or for human rights, and with a long tradition of using violence and other forms of intimidation against anyone who seeks to improve the situation.
Depuis le coup d’État de 1954, qui a chassé du pouvoir un gouvernement qui avait l’intention de libérer le pays de la pauvreté et du sous-développement, les choses vont mal pour le Guatemala, un pays constamment gouverné par des personnes qui ne se préoccupent guère des groupes sociaux les plus faibles ou des droits de l’homme et qui utilisent traditionnellement la violence et d’autres formes d’intimidation contre toute personne qui cherche à améliorer la situation.