Secondly, when the Species at Risk Working Group, the SARWG, had these radical environmentalists, like the Canadian Pulp and Paper Association, the Canadian Mining Association, and even the Canadian Federation of Woodlot Owners.if they're amenable to actually looking at this issue within a private land perspective, doesn't that show there is some goodwill, even in the private sector?
Ensuite, quand le groupe de travail sur les espèces en péril a rencontré ces environnementalistes radicaux, comme l'Association canadienne des pâtes et papiers, l'Association minière du Canada, et même la Fédération canadienne des propriétaires de boisés.s'ils sont prêts à envisager l'idée que le projet de loi s'applique aux terres privées, est-ce que cela ne montre pas que même le secteur privé est capable de faire preuve de bonne volonté?