I have a suggestion: instead of asking the governments, ask the abused women concerned: for example, women who have been abused and taken refuge in shelters for women should be asked about the help they have received and the attitude of authorities to their cases in general, or girls and women suffering on the streets of Budapest or, say, Amsterdam, and who are hoping to escape from the hell of prostitution, should be asked about the type of help they have received from their state or government.
J’ai une suggestion à ce propos: au lieu de demander aux gouvernements, posez la question aux victimes concernées; il faudrait par exemple demander aux femmes qui ont été agressées et qui ont trouvé refuge dans un centre d’accueil pour les victimes de violence comment est l’aide qu’elles ont reçue et quelle est l’attitude des autorités à leur égard en général, ou demander aux filles et aux femmes qui souffrent dans les rues de Budapest ou d’Amsterdam et qui espèrent échapper à l’enfer de la prostitution, quelle est l’aide qu’elles ont reçue de leur pays ou de leur gouvernement.