In that connection, she can only reiterate the view which she expressed at first reading: namely, that the Council and Commission proposal is not justified and that the stated grounds (to speed up the procedure for authorising any new sweetener) are not admissible, since the Commission took two years to submit its proposal for a revision of the legislation relating to sweeteners.
Sur ce point, le rapporteur ne peut que réitérer sa position de première lecture, constatant que cette proposition du Conseil et de la Commission n'est pas motivée et que l'argument d'accélérer la procédure d'autorisation de tout nouvel édulcorant n'est pas recevable, la Commission exécutive ayant eu besoin de deux ans pour proposer sa proposition de révision de la législation relative aux édulcorants.