The word ‘continue’ here is doubtless a bad joke which slipped into the text by mistake, because before the crisis the United Nations, as we all know, had been flouted and swept aside by the United States, with the complicity of two Member States of the European Union.
Dans ce communiqué, le mot "continuer" est sans doute une mauvaise plaisanterie qui s'est glissée par inadvertance dans le texte car, avant la crise, les Nations unies ont été, comme chacun sait, bafouées et mises à l'écart par les États-Unis, avec la complicité de deux États membres de l'Union européenne.