If the United States requests the help of the European Union, it must not be refused – just, in fact, as Mr Barrot said – provided that we do not forego our citizens’ safety, but without using that as a pretext for non-collaboration.
Si les États-Unis demandent l’aide de l’Union européenne, nous ne devons pas la refuser - tout comme l’a dit M. Barrot, en fait -, à condition de ne pas renoncer à la sécurité de nos concitoyens, mais sans nous en servir comme prétexte pour ne pas collaborer.