The case before us today bears a striking resemblance to the one raised on December 1, 2004, in which, due to increased security surrounding a visit by the then president of the United States, George W. Bush, some members were denied access to the parliamentary precinct by security officers.
L’affaire à l’étude aujourd’hui comporte des ressemblances frappantes avec les faits à l’origine de la question soulevée le 1 décembre 2004, alors que certains députés, en raison des mesures de sécurité accrues mises en place pour la visite du président des États-Unis de l’époque, George W. Bush, s’étaient vu refuser l’accès à la Cité parlementaire par des agents de sécurité.