That does not, however, take away from the fact that, while it is clear that the European public does not think highly of animal welfare in Europe – God only knows why, though, for Europe does apply the world’s strictest standards – their behaviour as consumers is often very different, and that is where the problem lies.
Cela n’enlève cependant rien au fait que, s’il est clair que les citoyens européens ne se préoccupent pas grandement du bien-être animal en Europe - Dieu seul sait pourquoi d’ailleurs, parce que l’Europe a les normes les plus sévères au monde -, leur comportement en tant que consommateurs est souvent très différent et c’est là que réside le problème.