I believe that it is a less confusing and less subjective principle, and this is not a terminological issue, Mr Barrot, but a substantive issue: provocation lends itself to abuses, to excesses, it also lends itself to excessive attention to the socially emotive, which would often dictate excessive and confused reactions.
J’estime en effet que ce concept est moins déroutant et subjectif et il ne s’agit pas là d’un problème terminologique, Monsieur Barrot, mais substantif: la provocation conduit des abus, à des excès, mais aussi à prêter une attention excessive à des personnes socialement émotives, ce qui risque souvent de dicter des réactions excessives et confuses.