The best way we can help the Russian Federation is, on the one hand, to refrain from wholesale damnation and clearly address unhealthy structures or individual policies, such as the Chechen policy and, on the one hand, to value positive developments, without talking up, writing up or thinking up the Russian Federation as a whole.
Nous aiderons la Russie si, d'une part, nous nous abstenons de la condamner en bloc, mais en parlant également de structures malsaines ou de certaines politiques, comme la politique tchétchène. D'autre part, nous devrions aussi apprécier les évolutions positives, sans pour autant nous contenter de beaux discours, de beaux articles et de belles pensées sur la Russie.