It seems to me that the onus should be the other way, that the commissioners should first consult with the people in the ridings, institutions, volunteer sector, individuals, mayors or borough presidents, whatever they are, councillors and MPs to find out the key issue of identity, community of interests, historical links, and then make boundaries dependent on numbers, up to the 25%.
Il me semble que le fardeau de la preuve devrait reposer sur les commissaires, c'est-à-dire que les commissaires devraient d'abord consulter les gens des circonscriptions, les établissements, le secteur volontaire, les électeurs, les maires ou les présidents de quartiers, je ne sais qui, les conseillers, les députés, pour définir les questions d'identité, la communauté d'intérêts, les liens historiques, et ensuite proposer des limites qui respectent les chiffres, à 25 p. 100 près.