And so, now that, sadly, our dead have been buried, the journalists have left the devastated areas and the river, in this case the Po – I live by the Po – is again taking its normal course, it is time, as we say in Italy, to put up our umbrellas, not to appear prophets of doom but to evaluate once again the requirements and the remedies.
Il est donc temps, maintenant que nos morts ont été enterrés, que les journalistes ont quittés les zones dévastées et que les fleuves, dans ce cas le Pô - j'habite sur les rives du Pô - sont rentrés dans leur lit, d'ouvrir, comme on dit en Italie, nos parapluies, non pour jouer les Cassandre, mais pour évaluer encore une fois les besoins et les remèdes.