They didn't actually address the constitutional question overtly, but they indicated that merely technical or bookkeeping violations of the Elections Act ought not to invalidate a vote, thereby indicating that voting is a right, not a privilege, that the right cannot be restricted for bookkeeping reasons without legitimate overriding concerns.
Ils n'ont pas explicitement traité de la question constitutionnelle, mais ils ont indiqué que des violations purement techniques ou administratives de la Loi électorale du Canada ne suffisaient pas pour invalider un vote, ce qui implique que voter est un droit, et non un privilège, que le droit de vote ne peut pas être restreint pour des raisons administratives sans raison majeure et légitime.