The Commission realises that the main object of the Portuguese initiative – for underlying reasons that are easy to understand – is to safeguard a number of existing bilateral agreements between the Member States and, for example, third countries such as the United States of America, Canada, Japan and Australia.
La Commission comprend, et on peut sans doute facilement partager la raison sous-jacente à l'initiative portugaise, que le but principal consiste à permettre la sauvegarde d'un certain nombre d'accords bilatéraux existant entre les États membres et, par exemple, des pays tiers tels que les États-Unis d'Amérique, le Canada, le Japon ou l'Australie.