In 1995, with the Uruguay Round agreement, the United States took the opportunity to do something called ``dirty tariffication,'' where they used their tariff schedule to modify their quotas. This resulted in a significant impact on Canadian sugar exports.
En 1995, dans la foulée de l'accord du Cycle d'Uruguay, les États-Unis ont saisi l'occasion de pratiquer ce qu'on appelle « une tarification vicieuse », en ce sens qu'ils se sont servis de leur liste tarifaire pour modifier leurs quotas, ce qui a eu une forte incidence sur les exportations sucrières canadiennes.