Is it normal that, on the one hand, the federal government goes after the provinces and has them bearing the brunt of all the cuts made since 1994 in health care and education when the needs of the provinces in both these areas are increasing?
Est-ce que c'est normal que, par la porte d'en avant, on frappe de plein fouet les provinces, qu'on fasse en sorte que ce soient les provinces qui supportent l'odieux des coupures depuis 1994—des coupures dans les secteurs de la santé et de l'éducation—alors que les besoins de ces provinces, en matière d'éducation et de santé, notamment, soient croissants?