I have repeatedly made a case for a stable Kazakhstan to join the ENP, as it is eager to get away from the risk of economic and political dominance by Russia and China and could indeed supply not just oil and gas but also uranium to the European Union, as we will inevitably have to build more nuclear reactors to satisfy Kyoto and not be over-reliant on unstable regions of the world –such as the Middle East, Venezuela or Nigeria, to name but a few – for fossil fuels.
À plusieurs reprises, j’ai argumenté en faveur de
l’intégration d’un Kazakhstan stable dans la PEV, parce qu’il est urgent d’écarter le risque d’une domination économique et politique de la Russie et de la Chine et parce que ce pays pourrait fournir non seulement du pétrole et du gaz, mais aussi de l’uranium à l’Union européenne. Or, nous devrons inévitablement construire davantage de réacteurs nucléaires pour remplir les objectifs de Kyoto et, pour ce qui est des combustibles fossiles, nous ne pouvons rester excessivement tributaires de régions instables du monde telles que le Proche-Orient, le Venezuela ou le Nigeria, pour ne citer qu’
...[+++]eux.