Where we are at today, in response to what some judges are now doing and speaking up against mandatory minimums, it is a huge issue, because certainly some judges and some Crown attorneys — not all Crown attorneys; trust me on that one — feel that they are losing their discretion.
La situation actuelle, si l'on pense à ce que certains juges font en ce moment et les critiques qu'ils font aux peines minimales obligatoires, c'est un problème très complexe parce que certains juges et certains procureurs de la Couronne — pas tous les procureurs de la Couronne; faites-moi confiance sur ce point — estiment qu'on leur retire des pouvoirs discrétionnaires.