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he first study of children’s television programming in New Zealand and the U.S., published in 2000, concluded that “the frequent and casual use of fundamentally disrespectful vocabulary such as crazy, mad, nuts, twisted, wacko or loony demonstrated for children that such expressions are acceptable or even funny”. [104] The researchers responsible for this study activ
ely looked for, but were unable to identify, any positive attributes associated with those who were depicted as mentally ill, nor did they find any u
nderstandi ...[+++]ng of the suffering that mental illness involves.
La première étude consacrée aux émissions de télévision pour enfants en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis, publiée en 2000, conclut que l’utilisation fréquente et banale de termes foncièrement méprisants (comme fou, dingue, mental, délirant, dément ou givré), montre aux enfants que ces termes sont acceptables, voire amusants.[104] Les auteurs de cette étude ont cherché attentivement, mais sans succès, des qualificatifs positifs quelconques associés aux personnages présentés comme ayant une maladie mentale, et ils n’ont trouvé aucune compréhension des souffrances associées à la maladie mentale.