Although the resolution explicitly mentions a number of countries, such as Tibet, Chine, Afghanistan, Papua-New Guinea and Chechnya, where human rights are effectively violated in many, if not all areas, not a word is said regarding the major powers, the European Union in particular, which, while they do not necessarily violate human rights at home, violate them in their former colonies, either directly or by giving protection to dictators that ride roughshod over human rights.
Si la résolution cite cependant un certain nombre de pays, comme le Tibet, la Chine, l'Afghanistan, la Papouasie ou la Tchétchénie, où les droits humains sont en effet violés dans bien des domaines, voire dans tous, il n'y a pas un mot sur ces grandes puissances, notamment de l'Union européenne, qui, quand elles ne violent pas certains droits de l'homme chez elle, les violent dans leurs ex-colonies, directement ou en protégeant des dictateurs qui foulent ces droits aux pieds.