Their argument, which the commission accepted, at least on a preliminary view because it's just a proposed policy, was that because there are—for instance, they gave the example of western Canada—a greater number of French immersion schools to which parents choose to send their children, this Canadian reality would be well served if we moved to a knowledge-of-French basis.
Son bureau a présenté des arguments que le Conseil a acceptés, du moins à première vue car il s'agit simplement d'un projet de politique, disant que puisqu'il existe—notamment, dans l'ouest du Canada—un grand nombre d'écoles d'immersion française auxquelles les parents choisissent d'envoyer leurs enfants, il conviendrait de passer à un test fondé sur la connaissance du français, ce qui serait plus conforme à la réalité canadienne.