Après avoir fait étudier la transcriptio
n de ses séances de thérapie avec la patiente par sept collègues expérimenté
s, qui avaient tous conclu que c'était sans espoir, le Dr Chabot avait décidé que le moindre des deux maux consistait à donner à Mme Boscher les moyens de se suicider sans souffrir, avec le moins de violence possible. À son procès, il a témoign
é qu'il n'était pas question dans ce cas-là de maladie psychiatrique ou d'u
...[+++]n désordre dépressif majeur.