Had the justice minister accepted the advice of the Canadian Police Association, Victims of Violence, the attorneys general and the Reform Party to clearly limit conditional sentencing, he would not once again find his legislation in court.
Si le ministre de la Justice avait suivi le conseil de l'Association canadienne des policiers, des Victimes de violence, des procureurs généraux et du Parti réformiste de restreindre nettement les condamnations avec sursis, sa mesure législative ne serait pas à nouveau devant les tribunaux.