When a political party receives substantial contributions from banks, large corporations, even unions or other organizations, then its hands are tied when it wants to introduce tax reforms that only benefit the individual, and not people who were able to make sizable contributions to the party's coffers.
Dans le cas d'un parti politique qui reçoit des contributions importantes des banques, des grandes compagnies, peut-être des syndicats aussi, et d'autres organismes, à ce moment-là, il a un peu les pieds et les mains lisé lorsqu'il s'agit de faire une réforme de la fiscalité qui ne soit qu'à l'avantage des particuliers, à l'avantage des citoyens, et non pas à l'avantage de gens en fonction de la contribution qu'ils ont pu faire à la caisse du parti politique concerné.