Despite multiple requests, there has been no response and in December 2007, the day before the first flights from the United States were due to arrive, the Canada Border Services Agency bullied the airport president into signing contracts obliging him to cover the customs charges or no flight could land at the airport.
Malgré les multiples requêtes, les réponses tardent à venir de part et d'autre, si bien qu'en décembre 2007, la veille de l'arrivée des premiers vols en provenance des États-Unis, l'Agence des services frontaliers débarque en fier-à-bras et oblige le directeur de l'aéroport à signer les contrats l'obligeant à assumer les frais de douane, sans quoi aucun avion ne pourra atterrir sur le sol de l'aéroport.