I was personally involved when the rape crisis centres were threatened to such an extent that the women in the Windsor Rape Crisis Centre felt it necessary to shred their records publicly in order to refuse access to those records, in protection of personal relationship they had with the women who called on them for protection.
J'ai commencé à m'occuper de la question quand les centres d'aide aux victimes d'agression sexuelle étaient menacés au point que les femmes du centre d'aide de Windsor avaient jugé nécessaire de déchiqueter les dossiers en public pour éviter qu'on y accède et préserver leur relation personnelle avec les femmes qui avaient demandé leur protection.