We had, on the one hand, the bad Cubans who were vassals of the Soviet Union intent on pursuing international revolution and, on the other hand, the good Cubans, who rescued the country from the grip of the sugar barons, the mafia, the CIA and US imperialism.
Nous avions, d’une part, les méchants Cubains qui étaient les vassaux de l’intention de l’Union soviétique de conduire la révolution internationale et, d’autre part, les gentils Cubains, qui ont sauvé le pays de l’emprise des barons du sucre, de la mafia, de la CIA et de l’impérialisme américain.