Therefore, the Court considers that, in so far as Elf Aquitaine held more than 97% of the shares in Arkema France and did not furnish evidence capable of rebutting the presumption that it exercised decisive influence over its subsidiary, the Commission did not commit an error in deciding to impute Arkema France's unlawful conduct to it.
Dès lors, le Tribunal estime que, dans la mesure où Elf Aquitaine détenait plus de 97 % du capital social d’Arkema France et qu’elle n’a pas rapporté d’éléments de preuve de nature à renverser la présomption selon laquelle celle-ci exerçait une influence déterminante sur sa filiale, la Commission n’a pas commis d’erreur en décidant de lui imputer le comportement infractionnel d’Arkema France.