It is distressing to have people come to your office saying “Listen, if this keeps on, I might be able to use my car for two or three weeks or a month, but if the price of gas continues to climb, I won't be able to”.
C'est traumatisant de voir des gens qui viennent me voir dans mon bureau et qui me disent: «Écoutez, si ça continue comme ça, peut-être que je vais pouvoir utiliser mon auto pour deux semaines, trois semaines, un mois, mais si le prix de l'essence continue à grimper de la sorte, je ne pourrai pas».