What has fundamentally changed the Iranian economy's trajectory—from 2012 when it was in a deep recession and heading downwards to 2014 looking forward where the economy has stabilized and is now experiencing a modest, albeit fragile, recovery—is that the decision was made by the administration in mid-2013 not to intensify the pressure, not to double down on sanctions but, indeed, to stop the escalation of sanctions.
Ce qui a fondamentalement changé la trajectoire de l’économie iranienne — à partir de 2012, alors que le pays connaissait une profonde récession et continuait de s’enfoncer, jusqu’en 2014 où l’économie s’est stabilisée et enregistre en ce moment une reprise modeste, quoique fragile —, c’est que l’administration a décidé au milieu de 2013 de ne pas intensifier la pression, de ne pas prendre d'autres sanctions et, effectivement, de mettre fin à l’escalade des sanctions.