As these conditions persist, numerous studies conducted over the years by Statistics Canada, universities and even our own Aboriginal institutions have unfortunately proven that, globally speaking, Aboriginal women are the most marginalized and poorest population, and are subject to some form of violence, be it systemic, economic or physical.
À travers toutes ces réalités, plusieurs recherches faites au fil des années par Statistique Canada, par des universités ou au sein de nos institutions autochtones, ont prouvé mondialement que, malheureusement, les femmes autochtones sont les plus marginalisées, les plus pauvres et subissent une forme de violence, qu'elle soit systémique, économique ou physique.