Honestly, who among them would want to change places with a seasonal worker and accept a job that pays less, is over 100 km from their home and effectively means they have to live below the poverty line, which is the case for over three million Canadians?
Honnêtement, lequel d'entre eux serait prêt à changer de place avec un travailleur saisonnier et à accepter un emploi moins bien payé, à plus de 100 km de son domicile, et qui, en général, ne lui permettra pas de vivre au-dessus du seuil de la pauvreté, comme c'est déjà le cas pour plus de 3 millions de Canadiens?