In reply to your second question, may I say that the Greek Presidency expressed the view eighteen months ago, in a letter from Prime Minister Simitis, that a common border guard was needed so that a real European border police force could gradually be developed, especially with the pressure from organised crime and immigration as a result of developments in Asia.
Pour répondre à votre deuxième question, je dirai que la présidence grecque a exprimé son point de vue il y a dix-huit mois, dans une lettre du Premier ministre, M. Simitis. Celle-ci indiquait qu'un corps commun de gardes-frontières était nécessaire pour développer progressivement une véritable force de police frontalière européenne, compte tenu surtout de la pression du crime organisé et de l'immigration dus aux événements intervenus en Asie.