As a matter of fact, Bill C-36 would not prevent those who sell their sexual services from entering into any legitimate commercial relationships as long as they enter into those relationships on the same basis, the market value, that anyone else would enter them; for instance, in hiring an accountant, renting a spot from a landlord, having a pharmacist, a security company—any of the services available—providing, according to my reading of the bill, that those people do not coerce the person into paying them, such as by giving them drugs to force them to pay them.
En fait, le projet de loi C-36 n'empêchera pas les personnes qui vendent leurs services sexuels d'établir des relations commerciales légitimes, pourvu qu'elles le fassent sur la même base — la valeur marchande — que n'importe qui d'autre qui retiendrait les services d'un comptable, louerait un local ou ferait appel à un pharmacien ou à une entreprise de sécurité, par exemple, à condition — d'après ce que je comprends du projet de loi — que les personnes avec qui elles établissent ces relations ne les contraignent pas à les payer, par exemple en leur donnant de la drogue.