My answer is that he personified in life, as he does in death, the enthusiasm and idealism arising from the centennial celebration of 1967, when, in one glorious year, Canadians set aside their petty differences and quarrels to celebrate their uniqueness and all that they have in common — a reality too often subjected to challenges, never so brilliantly resisted as they were by Trudeau.
Je réponds à cela qu'il représentait dans la vie, comme il le fait maintenant dans la mort, l'enthousiasme et l'idéalisme découlant des célébrations du centenaire en 1967 lorsque, durant une année merveilleuse, les Canadiens ont mis de côté leurs petits différends et leurs querelles sans importance pour célébrer leur caractère unique et leurs points communs - chose qui, trop souvent, posait des défis qui n'ont jamais été aussi brillamment relevés que par M. Trudeau.