This helps to explain why the Union's public-sector researchers are, on average, less productive and, altogether, make less combined scientific impact than their far less numerous US counterparts.
Ces différents éléments aident à comprendre pourquoi les chercheurs européens du secteur public sont en moyenne moins productifs et n'ont globalement, sur le plan scientifique, pas autant d'impact que leurs homologues américains, pourtant bien moins nombreux.