In oncology, where, in the vast majority of cases, depending on the kind of cancer you're dealing with, it is inexorably a fatal disease, if you provide a therapy that will reduce mortality by 85% but has along with that a 15% risk of inducing mortality, one would have to weigh—and by “one” I mean the provider of the therapy and the consumer of the therapy—in the most informed way whether one would want to take the risk of the 15% mortality or the potential cure.
En oncologie, dans la grande majorité des cas, selon le type de cancer, la maladie est inexorablement fatale, de sorte que si l'on donne une thérapie qui réduit le taux de mortalité de 85 p. 100, mais qui comporte un risque de 15 p. 100 de provoquer la mort, on doit peser le pour et le contre—-et quand je dis «on», je veux dire le thérapeute et le consommateur de thérapie—de la façon la plus éclairée possible, en se demandant s'il faut prendre le risque de provoquer la mortalité dans 15 p. 100 des cas, compte tenu de la possibilité de guérison.