Changes to the divorce law have rarely kept pace with changing attitudes and, despite the gender neutral language of the Divorce Act, its actual implementation in the areas of child custody and child support has continued to be marked by an entrenched systemic gender bias that “mother knows best and father pays best”.
Les modifications aux lois sur le divorce ont rarement suivi les changements d'attitude et, en dépit de la neutralité du langage de la Loi sur le divorce, son application dans le domaine de la garde des enfants et des pensions alimentaires continue d'être marquée par des préjugés systématiques qui veulent que ce soient «les mères qui savent le mieux et les pères qui paient le mieux».