If adults were being subjected to vicious insults and goaded to commit suicide in cyberspace or in physical space or were being slammed into walls and sexually assaulted in locker rooms, we would be using the felony language of harassment, uttering threats, battery and sexual assault.
Si des adultes étaient victimes d'insultes vicieuses et si on les incitait à se suicider dans le cyberespace ou dans le monde réel, ou si on les plaquait contre le mur et les agressait sexuellement dans des vestiaires, on qualifierait cela de harcèlement, de profération de menaces, de voies de fait et d'agressions sexuelles, c'est-à-dire d'actes délictueux graves.