All in all, most studies did not observe any significant differences.[52] Nevertheless, reports from the WHO and the collective expertise of INSERM conclude that, despite methodological difficulties, there is reasonable evidence that cannabis use during pregnancy harms fetal development, in particular restricted growth and behavioural abnormalities, but that these abnormalities are rather minor.[53]
Et au total, la plupart des études n’ont pas observé de différences significatives.[52] Les rapports de l’OMS et de l’expertise collective de l’INSERM concluent néanmoins que, malgré les difficultés méthodologiques, il existe une évidence raisonnable que l’usage du cannabis durant la grossesse nuit au développement fœtal, notamment une réduction de la croissance et d’anomalies de comportements, mais que ces anomalies sont plutôt mineures.[53]