In addition to the aforementioned extremely serious cases of ‘disappearances’ of political opponents, human rights associations have also been gathering evidence of abuses in all of the aforementioned areas in relation to the treatment of dissidents and critics of the regime. Firstly, the death penalty remains in force; 74 people were executed by firing squad in 1998, 68 in 1999, and 36 in 2000.
Outre les cas, très graves, de "disparitions" d'opposants politiques, dont il a été précédemment question, les associations de défense des droits de l'homme relèvent différentes violations s'agissant du traitement réservé aux personnes qui désapprouvent ou critiquent le pouvoir établi. Il convient de signaler d'abord que la peine de mort reste en vigueur et que le nombre des personnes exécutées a été de 74 en 1998, 68 en 1999 et 36 en 2000.