Although I might question some of my qualities as a Canadian, I do not question the qualities of the Canadian horse, which, if it were to survive in upper North America, had to face no prepared fodder or shelter, inclement weather and random breeding, or just die out.
Bien que je ne sois pas toujours sûr de certaines de mes qualités en tant que Canadien, je ne douterais pas de celles du cheval canadien qui, pour survivre dans la partie supérieure du continent nord-américain, a dû s'adapter à la nourriture indigène, apprendre à survivre sans fourrage préparé ni abri lorsque sévissaient des températures extrêmes, et a dû se reproduire au hasard, au péril de sa race.